img Marcof le Malouin  /  Chapter 3 KEINEC. | 6.98%
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Chapter 3 KEINEC.

Word Count: 1385    |    Released on: 30/11/2017

é une arme à sa convenance. Le jeune homme prit une carabine à ca

ouvelles. Décroche cette poire à poudre placée à la tête de mon hamac. Elle

Tu ne me do

donc pas d

lle fr

aussi bon Breton

soyons amis. Tu sais bien q

comme il convient ton courage et ton brave coeur! C'est pour cela, vois-

ais-je do

er Yvonne

je n'aurais eu qu'à rester à terre, et, à cet

u n'aurais pas assisté au spectacle de leur agonie; tu n'aurais pas répandu

of, tais-toi!..

is pas la vérité?..

t pos

maintenant qu'ils n'ont plus rien à craindre de la

t'imp

comme si elle é

le faut!... Elle a trahi ses serments! elle est parjure! e

as dans la cabine, puis, revenan

s jamais devant moi, jamais, tu m'entends? Si, au contraire, tu pardonnes, eh bien! ta place e

, murmura Keinec, pourquoi ne m'emp

faudrait te t

i, Marcof! au moins j

lequel le jeune homme avait prononcé ces

sur les c?tes, que ton pauvre père est mort? Toi-même ne viens-tu pas de te dévouer pour mon lougre? Va, pour ne pas te voir souffrir, je don

s son ame. Enfin, s'arrachant pour ainsi dire aux pensées qui le torturaient, il fit un brusque mouvemen

risant d'un coup de poing une petit

e pont de son navire. Keinec n'y était plus. Quelques marins, étendus ?à et

cher et de l'autre sur le bastingage de l'arrière, établissait la communication entre le Jean-Louis et la terre ferme. Marcof se dirigea de ce c?

n reconnaissant le nouveau

rt de mon

u'il dési

e nui

appris mo

l'orage, et avait ordre de revenir au chateau dès l'entré

feux de la Saint-Jean seront éteints,

donna quelques ordres, puis, passant une paire de pistolets dans sa large ceinture, il

action. Glissant son bras autour de la taille de sa fiancée, il entra?na rapidement la jeune fille vers l'intérieur

t-il d'une

levant sur son promis ses grands yeu

embler sous le mien. Les coups de me

, mais je me

e nous nous arr

jolie Bretonne; marchons

lence régna

me, vous semblez triste et soucieu

, Jahoua, répondit Yvonne avec

einec vous a fait

! o

eu peur,

a Yvonne pour l

-vous don

odigué les soins affectueux d'un frère; mais, depuis qu'il est revenu au pays, depuis que nou

pense

sa vue me donne un

ubler ainsi. Il ne nous a p

rs moi, tandis que moi, j'ai repris

ous ne l'a

l m'aim

me trouver, nous régler

Jahoua, s'écria vive

Songez plut?t à votre père, que la tempête aura si fort tourmenté! Quelle sera sa joie en vous revoyant sa

range située au milieu du village. Un paysan bas-breton tenait les rênes d'une b

r de la pierre, il prit Yvonne en croupe. La jolie Bretonne passa ses bras autour de la taille de son fiancé, et tous les

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