rtant alors du détroit de Davis, se précipitaient dans l'Océan. à partir de ce moment, une surveillanc
de Penellan. Ces quarts ne devaient durer que deux heures, car sous ces froides régions la force de l'homme est diminuée de moitié. Bien que la Je
es, quand le vent ne soufflait pas trop violemment, Marie demeurait sur l
asling et Penellan. La Jeune-Hardie entrait alors dans une passe large de trois milles
nous la terre? dema
jours au plus tard, ré
e nouveaux indices du pas
soyons encore loin du terme de notre voyage. Il est à
s du navire norvégien a duré trois jours, et en trois jours un navire fait bi
tait au mois d'avril, que le dégel n'était pas commencé alors, et que, p
s, répondit le second, puisque son
lan, lui offraient un moyen facile de gagne
ion qui se renouvelait journellement entre le second et l
ria Marie. Voye
premières que nous rencontrons. Elles nous broieraient comme du verre, si nous n
n, se rapprochèrent peu à peu du brick. Penellan prit le gouvernail, et Jean
tre difficulté s'ajoutait à ces périls: on ne pouvait constater utilement la direction du navire, tous les points environnants se dépla?ant sans cesse et n'offrant aucune perspective stable. L'obscurité s'augmenta bient?t avec le brou
d'orienter la grande vergue à toucher les haubans. Heureusement, cette mesure ne fit rien perdre au brick de sa vitesse, car le vent ne pouvait atteindre que les voiles supérieures, et celles-ci suffire
es ténèbres environnantes. Il devint nécessaire de carguer les voiles hau
lieu des matelots de l'avant, qui, la gaffe en
, nous devrons une belle chandelle à
ntagnes flottantes à travers
que nous trouverons der
et veille à ton bord. Quand nous serons passé
Hardie, filait rapidement à contre-bord, et il parut impossible de l'éviter, car elle ba
? demanda Jean Co
e! Le navire n
quipage, n'ayez pas peur, et arcboutez s
le brick était broyé. Il y eut un indéfinissable moment d'angoisse, et l'équipa
rdie, un bruit sourd se fit entendre, et une véritable trombe d'eau tomba d'a
t vers l'avant, le bloc avait disparu, la passe était libre, et au delà, une immense p
écria Penellan. Orientons n
ns l'Océan, où l'eau est relativement plus chaude, elles ne tardent pas à se miner à leur base, qui se fond peu à peu et qui d'ailleurs est ébranlée par le choc des autres gla?ons. Il vient donc un moment où le