an

. La main de Lucien s'y plongea avec une so

donnaient la chair de poule, parce que je les remplissais avec ce qui m'appartient de douleurs et de terreurs. Il y a aussi des invraisemblances si na?ves qu'on le

son regard fi

ce que je vois, j'y rapporte tout. Il y a des moments où il me semble que mon aventure m'a poursuivi jusqu'au fond de ce refuge, et que j'y suis entouré par de misérables subalternes à la solde du démon en chef qui a joué le principal r?le dans la comédie de mon malheur. Ce M. Wilkie Collins n'a jamais entendu parler

s me donnèrent u

l'image charmante de l'inconnue qui tout à l'heur

m, prononcé à l'improviste, me fit revoir le visage noble et triste

avec empressement. C'était une simple cart

i joli que la fillette qui me

t bien ?la pe

t rien de commun avec

e cette dernière restait-il entre mo

l'exquise délicatesse de ses traits. J'avais plaisir à admirer la bonté vraiment angéli

muait les papiers du

i qu'elle va avo

d'un accen

moins comment

vint pas, e

doit bie

iver sa recherche

de son visage qu'il détourn

embla quan

l'a bie

rompit, pu

en voyant cette chose muette et morte, la vie du regard, la grace du mouvement, l'attrait du re

rement, les yeux toujours fi

produire, par l'intensité du re

devant moi la ravissante enfant, et je ne mentais même pas en parlant de vie, de mouvement, d'harmonie, car il me semblait que ma volonté pouvait animer le

eoffroy! Rends-moi

, à ce que je crus, refoul

e sa bouche plus rose que les roses. Qui sait? Ses grands yeux bleus comme le ciel ont peut-être éteint la flamme adorée de leurs prunelles. Ma Jeanne! ma Jeanne! Oh! qui sait? D

r s'agenouiller auprès du cof

je le vis immobile, puis tout à coup il chancela, et je n'eus que le temps

s! bien léger: tout au p

ppuyé contre ma poitrine. Il respirait avec

is vu mourir quel

ore que cette paleur mena?ante, c'était le vieillissement soudain, extraord

tournure d'un enfant. Tout en lui, au premier aspect, m'avait paru amoindri, effacé, réduit à ces apparences indécises qu'on retr

t il avai

ise d'angoisse qui tendait chaque fibre de so

revenue qui le faisait h

de cet héro?sme passif qui

poitrine, car son contact me faisait f

je n'oublier

e s'appuyer

eus remords comme s'il m'

découvrirent le profond regard de ses yeux

mourir. Tu peux me lacher maintenant, je me tiendrai bien debout. En effet, il se

re. Je veillerai à ne plus t'effrayer ainsi; c

répondre. Son sourire persistait. Il se fi

faux, n'est-ce pas qu'il est gentil mon cher petit portrait? C'est tout ce qu

avoir ma

ais ou? dire... é

e de la voix, je répé

garder son navrant sourire. L'effort qu'i