img Gabriel Lambert  /  Chapter 8 LE MALADE. | 33.33%
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Chapter 8 LE MALADE.

Word Count: 1832    |    Released on: 04/12/2017

sor

e, à qui je donnai des instructions, et qui s'achemina à l

i, comme je le

mait e

de continuer mes courses

, d'attendre son réveil, que je m'assis dans le salon, au risque de p

moi, et pour achever, s'il m'était possible, par la vue des ob

y reconnaissait le cachet d'une somptuosité sans go?t: les tapis étaient d'une couleur éclatante, et des plus beaux que puiss

tapisserie disparaissait sous la multitude de cadres dorés qui couvraient les murailles et qui contenaient des gravures à

ieuses se pavanaient des ivoires de Dieppe et des porcelaines modernes si grossièrement travaillées qu'el

able chargée de livres magnifiquement reliés complétait l'ensembl

aissait acheté depuis tro

ais chez quelque nouvel enrichi, au go?t défectueux, qui était bien parvenu à réunir autour de lui les insignes

du salon dans la

ention fut absorb

que son état n'avait point empiré; au contraire

n pénible à voir dans un homme. Maintenant, comment cet homme si faible avait-il accompli cet acte de courage d'insulter un homme connu co

contraire, d'une colère incalculée. Je pensai, au reste, que quelque jour tout cel

rs examiner sa personne; c'était, comme

rtain caractère d'élégance; ses cheveux d'un blond fade étaient c

temps n'avaient pu en corriger la grossièreté native; ses ongles étaient mal faits, rongés, vulgaires; et, près de son li

à donner de l'expression à ses yeux, qui, à ce que je remarquai, ne se fixaient presque jamais directement

t vous êtes un grand prophète; mais suis-je hors de danger, docteur? Ce maudit coup d'épée! il était bie

inter

l'ami de monsieur d'Hornoy; c'est lui que

tin, monsieur; et lui, je

à l'attaquer, je serai forcé de vous prier d

dans l'état où je suis? ce serait affreux. Sans compter q

nsi

ntéressés; puis quand vient, comme on dit, le quart d'he

s je vous prouverai, quant à moi, en ne prolongeant pas mes visites au-delà du terme strictem

que vous vous f

nds à ce que

e dis; vous savez, nous autres gentilshommes, nous avons

i, il me ten

ls, lui dis-je, il est au

de monsieur Olivier; il est votre ami, j'ai eu tort; mais il est tou

dis-je, d'une fa?on à ce qu'il ne vous

battre avec lui, et quand on veut se battr

ulez-vous me rendre

de la sonnette, u

de ma santé de la part

le baron, répon

le malade, visiblement fac

e, pendant lequel je fis un m

e qu'il m'a fait,

quelques mots dits sur vous

e magnifique: une jeune personne de dix-huit ans, belle comme

l pu vous faire m

comte de Faverne, possède là-bas deux lieues de terrain, une habitation magnifique avec trois cents noirs. Mais j'ai éc

trompé, monsieur, mai

e que celui qui devait être mon beau-père

-être que vous

s, puisque je le l

e lui a

i, je lui dis: ?Ah! c'est comme cela! eh bien! pas plus tard que ce soir, j'irai lu

t de l'argent placé à cent pour cent; un duel pouvait lui rapporter

e le

reverrai-j

iendrai leve

duel devant vous, docteur, vous

e que j'ai

blessé, j'aurais donné cent mill

un homme, répondis-je, vous devez moins regretter votre mariage,

n jeune homme, d'ailleurs, né avec des go?ts aristocratiques, n'est jamais assez riche. Aussi je jou

mon compliment, m

... je crois

O

vi

O

estiqu

vis les yeux du baron s'ar

-il, sans donner le te

'est monsieur le comte de Macartie

pers

oie son vale

lade, et vous

grièvement blessé, mais que l

cteur, que vous

s-je; à moins cependant que vou

e monsieur le comte de Macartie envoie demander de mes nouvelle

s do

issez-moi vite, et v

pour arriver à ce but.

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