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Raven

Raven

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Chapter 1 Douce rose

The devil has red wings because it is the color of love, proof that love is destructive

Le soleil commençait à se coucher, et les habitants s'agitaient dehors. Le marché se déroulait la nuit à cause de la chaleur insupportable pendant la journée. Mais en automne c'était différent, le froid refaisait surface avec pour seule compagnie d'énormes nuages gris. La plupart des hommes marchandaient, se vendant tissus, toile, charbon et autre tandis que les femmes s'occupaient des enfants ou des travaux subtils. Elles étaient regroupés pour parler de la nouvelle... Les gens travaillaient un peu plus ces derniers temps pour pouvoir permettre à leurs enfants, aînés ou cadets de s'élever dans les rangs. Oui, car tout était fin prêt pour le grand bal qui se déroulerait demain. Ils ne restaient que les invités. Tous étaient excités à l'idée de rencontrer le grand Duc de Castel, l'un des hommes les plus puissants du pays, surnommé le corbeau. Nuls ne savaient ce qu'un tel homme recherchait dans une telle cambrousse. Mais c'était une réel chance...

Les servantes s'activaient à finir les robes, toutes devaient être parfaites. Les hommes aussi se pomponnaient, voulant faire bonne figure devant le grand Duc. Ils et elles voulaient devenir quelqu'un d'important, des plus pauvres habitants aux plus riches.

Mais elle, elle refusait de se mariée. Par folie ou idiotie, qui pouvait savoir ?

l Elle était l'unique fille d'une fratrie d'homme. Son plus jeune frère avait atteint les vingt-deux années il y a quelques mois et allait se marier. Le cadet était âgé de vingt-cinq ans et avait eu son premier fils il y a déjà un an. Puis l'aîné venait d'avoir vingt-huit ans et avait déjà composé sa famille d'une paire de jumelles et d'une fils de trois ans.

Pour faire simple, il ne restait plus qu'elle. Sa mère se battait chaque jour, et pour l'occasion de ce bal elle lui avait fait fabriquer une de ses plus grandes œuvres. Une robe d'un rouge sanguinaire, longue et majestueuse. Ses manches transparentes remontait jusqu'au épaules et tombait dans une fente dorsale. Une magnifique robe rouge qu'elle comptait accorder à ses lèvres. Déterminé à la caser avec un noble. Mais en attendant, elle préférait simuler un mal de tête pendant que sa mère prenait le thé. S'échapper de sa surveillance n'était pas un jeu d'enfant, mais le repos avant une tel soirée était primordial.

Dans sa chambre, vêtue d'un pantalon devenu trop petit pour son frère, la fille Donogan sortit en cachette. Elle prit le cheval de l'un de ses frères et partit en direction d'une petite clairière située au nord de la ville. Lorsqu'il faisait chaud, le lac avait une température parfaite. L'eau coule de la rivière et les arbres cachent le soleil. Tout est paisible et calme. Parfait.

Elle descendit de sa monture, son père n'avait pas hésité à lui apprendre malgré le refus persistant de leur mère. Elle attacha le cheval à l'arbre près d'elle, pour le garder a l'œil. Sa mère voulait tant la marier, mais chacun préférait sa liberté non ? Dépendre d'un homme s'était étouffant et insultant. Était elle un objet ? Pour être passer d'un homme à l'autre ? Si elle pouvait rester seule, elle le ferait. Mais cela déshonorerait sa famille. Un comble n'est ce pas ? Secouant la tête pour chasser les pensées de son esprit, elle alla se baigner. Elle détacha sa tunique après avoir bien vérifié que personne ne se promenait. Les habits tombèrent dans une caresse froide. Le soleil réchauffa quelques peu sa peau malgré le vent d'automne qui menaçait sa santé. elle plongea dans l'eau glacée, nue. Sa poitrine frissonna au contact de l'eau, son corps se remplit de chair de poule le temps qu'elle s'habitue.

-Mère me tuerait... Mais elle avait cette petite lueur dans son regard gris, cette affiche au dessus de sa tête. Ce qui l'a distinguait des ses contemporains. C'était différent des autres. Un jour, son frère l'avait comparée à une lumière. Il disait: la lumière attire les moustiques, et quand nous la regardons, nous avons mal aux yeux. Pourtant, on ne peut s'empêcher d'en avoir besoin. Besoin d'elle pour quoi ? Sa mère lui avait déjà présenté une dizaine de prétendants, tous plus riches les uns que les autres. Eux aussi avait besoin d'elle ? Était elle la proie d'une dizaine de moustique ? Sa mère lui avait dit que l'amour venait à l'usure. Après le mariage, lorsqu'on apprenais à se connaître et qu'on finissait par s'accepter. Mais comment?

Ces simples explications pouvait elle réellement lui apprendre a aimé un inconnu ? Vivre avec un inconnu ? Partager le lit d'un inconnu ? Elle rougit à cette pensée.

Une grande différence les opposaient, sa mère semblait vivre d'illusion ! Ou peut être était-ce elle ?

Alors que l'eau montait jusqu'à son cou, elle plongea la tête. Savourant la caresse fraîche. Ses cheveux se collèrent à son visage, caressant sa nuque jusqu'à son menton. Une couronne de fils brun se formait, flottant doucement sur l'eau. Ses longs cils projetaient leurs ombres sur ses pommettes. Ses cheveux bruns étais désormais trempés. Elle avait retire sa tête de l'eau. Elle dégagea son front et commença à nager calmement. Soudain un bruit la fit sursauter, un craquement ou un murmure. Serait ce un animal ? Ses mouvements s'arrêtaient. Elle ne fit plus un geste. Une voie s'éleva.

Il y avait quelqu'un ! S'affola t'elle. Ce retournant de chaque côté, elle ne voyait rien d'anormal. Fronçant un peu plus les sourcils, elle cria le nom de son cheval.

-lightning ! Le grand étalon noir arriva, elle souffla soulager. Elle entama de ce relever pour rejoindre la rive lorsque son regard ce stoppa sur une ombre à quelques pas. Il avait sa main posé sur le dos de l'animal.

-Mon dieu ! Qui êtes vous ? Cria elle en revenant dans l'eau. L'homme sortis enfin de son coin, et elle le détailla sans plus attendre. Au fond d'elle, elle paniquait. Mais si il fallait faire un portrait pour donner une idée de son agresseur ça pourrait lui être utile.

-Je suis moi aussi enchanter de faire votre connaissance milady. Je m'excuse des conditions de notre rencontre mais il me tardait de vous rencontrer. Il s'inclinait légèrement.

Un homme d'au moins 6 pied avec une silhouette élancée s'était présenter devant elle. Elle fut frapper par la beauté de cette créature. Une belle mâchoire, ses cheveux ainsi que ses sourcil étais très sombre. Mais elle fut d'autant plus frapper par ses yeux violets. De magnifique Améthyste. Elle resta encrée dans son regard. Pendant plusieurs minutes, heures, ou secondes elle ne savait pas. Lorsque les yeux du jeune homme descendis sur son corps, elle sortis de sa transe. Accrochant ses mains à sa poitrine.

-La vue vous plait ? Sarcastique, elle était pourtant effrayée. Comment osait t'il !? Pensa t'elle.

-Je m'excuse de préféré vous voir en dehors de l'eau. Son sourire séducteur n'aida pas la jeune femme a s'empecher de le frapper. Elle du tout de meme résister, elle était nue et ça elle ne devait pas l'oublier. Maid déformer ce petit minois...

-Je vous prierai d'aller manger de l'herbe ailleurs.

-Quoi ? Vous insinuez que je suis une vache ? Se moqua t'il. Toujours bien enfoncer dans l'eau, elle s'écartait tout de même de la rive en le voyant ce dévêtir.

-Non, un porc. Qu...que..faites vous ? Il ne lava pas la tête. Nom de dieu ! Elle paniquait réellement. Il se releva quelques seconde de sorte à plonger son regard dans ses yeux gris métallisé.

-Je vous rejoins, cela ne ce voit t'il pas ? Elle faillit suffoquer, il voulait la rejoindre dans la rive. Mais elle étais nue !

-Non ! Partez souffla t'elle désespérément. Elle espérait qu'il partirai, mais sa mère lui a toujours dit que les hommes sont têtu. Moi aussi je suis têtue ! Pensa t'elle. Il étais seulement vêtu d'une culotte d'homme. Il entra alors dans l'eau. Et elle ne pus ce résoudre à regarder autre part que son torse. Il étais plutôt bronzer, ce qui le rendait alléchant. Elle n'avait jamais vue un homme aussi musclé. Mes quel pensées mon dieu ! Elle recula encore plus jusqu'à ne presque plus avoir pied. Lui s'approchait rapidement, ne lui laissant aucun autre choix que de reculer. Les seul bruit autour d'eux étais les oiseaux, les clapotements de l'eau et leur respiration. Alors qu'il était à seulement quelques centimètre d'elle, elle fit un bon et se retrouvait dans la zone plus profonde. Elle ferma les yeux en se débattant. Deux grandes mains la saisirent, sa tête sortis rapidement de l'eau. Elle ouvrit immédiatement les yeux. Elle étais désormais accrocher à l'inconnu. Il la retenait pas les épaules, un regard aux pupilles violettes qui reflétait son amusement. Elle respirait difficilement, son cœur battait à mille à l'heure. L'homme lui fit relever le menton, et emprisonna ses yeux. De sorte à la calmer. Elle ce détendit presque instantanément.

-Pouvez vous me lâcher ? C'est très humiliant... Elle rougit en ce rendant compte de la position embarrassante dans laquelle ils étaient. Elle était nue bon sang ! Si quelqu'un les voyait elle ne donnait pas cher de sa peau.

Un vent frais parcouru le corps des deux inconnues. Et le froid se fit de nouveau ressentir.

-Quel idée de ce baigner en hiver ? Vous êtes inconsciente. La voie rauque de l'homme, la fit sortir de ses pensée. Il lui tenait toujours les épaules, il devait lever la tête pour ne pas que ses yeux s'aventure outre la limites accordé. Il avait déjà vue le corps d'une femme, plusieurs fois même ! Mais il refusait d'agir sans qu'on soit consentants. Même s'il avait enfreint cette règle il y'a quelques secondes en s'avançantIl la ramena vers la rive. De sorte à ce qu'elle ai pied. Elle le lâcha, sans le remercier. Car après tout c'était sa faute.

-Retourner vous je vous pris. Elle refusait qu'on la voit nue, pas un homme inconnu déjà. Mes formes restent et resteront mes formes ! Alors que le bourreau se retournait, ni une ni deux elle sortit et s'habilla a la vitesse de la lumière. Lorsqu'elle retrouva sa vieille robe bleu, elle fut soulager. Elle grimpa sur sa monture une nouvelle fois, et galopa jusqu'à chez elle. Non sans ajouter un dernier commentaire :

-Au plaisir de ne jamais vous revoir. Avait elle dit avant de s'enfuir. Arrivé chez elle. Elle se précipita dans sa chambre, priant pour ne pas croiser sa mère. Ou pire l'un de ses frères. Seul son père aurait pu un minimum la couvrir. Mais Dieu faisait sourde oreille. Elle souffla en entendant son nom. Et se dirigea vers le salon. -Oui mère ? Une grande femme brune était assise sur l'un des sofa. Ses frères autour d'elle ainsi que son père. Elle salua sa famille d'un geste de la tête.

-Où étais tu ? Son ton stricte la fît tressaillir. -De sortis, mère Elle souffla, sûrement fatiguer du comportement de sa fille.

-Andrew va ce marier dans quelques semaines, tu le savais sa bien sur. Tandis que Robin et Edison eux on déjà une lignée. Hochant la tête à chaque prénom, elle ce demandais en quoi cela la concernais. Demain se passe le bal du Duc de Castel. Et il y choisira sa futur épouse. Si tu n'est pas choisis le prochain prétendant sera ton mari. En seulement quelques mot, sa mère réussis à lui faire perdre toute trace de joie, son visage ce décomposa. Elle devait ce marier certes ! Mais pas si tôt ! Elle ouvris la bouche prête à protester, mais la referma ne trouvant aucun argument. Pourtant il y'en avait tellement !

-Et tu fera l'effort de te vêtir mieux. Elle regarda son père qui lui lança un regard désoler, puis ses frères qui eux ne la regardait même pas. Ils avaient oser les traîtres ! Ils avaient tous peur de leur mère, après tout elle était d'une lignée puissante. Elle sortis de la pièce sans même demander l'autorisation, ses mariages étaient monter à la tête de sa pauvre mère. Claquant la porte de sa chambre, elle ne s'écroula pas sur son lit. Non ! Ce disait elle.

Elle avait parler il y'a quelques temps de cette salle de balle avec une connaissance. Céleste lui avait parlé de légende. C'était intriguant et bien plus intéressant qu'une toilette.

Elle changea sa robe bleu pour une nouvelle à manche longue mais plus légère. Gracieuse et très sophistiquer c'est ce qu'elle devait être. Baliverne ! Elle était furieuse !

Elle sortis en trombe de la maison et ce dirigea vers la fameuse salle de bal. Une ancienne églises brûlée, puis reconstruite. Arrive à celle si, tout étais fermé. Surprenant. Sortant une petite pince de sa chevelure, elle réussi à entrer dans la grande salle, toujours aussi énervée. Mais sa colère redescendit en pic alors qu'elle observait le tableau face à elle. La salle étais illuminée par de grande bougie, un lustre tenait au plafond. Le sol étais tellement bien lavé qu'elle apercevait son reflet, du marbre. Des bouquets étaient disposés sur chaque table ainsi que des bougies qui n'était bizarrement pas éteinte. Elle s'avança hésitante, puis caressa les roses du bout des doigts, leur odeur emplissait l'atmosphère. Elle s'arrêta au centre de la salle. Les doux bruit du crépuscule régnaient. L'emportant dans une danse nocturne. Relevant les bras pour les alignés correctement au dessus de sa tête, elle entendit un corbeau pousser un crie, c'était un signe du chef d'orchestre.

La musique commençait Elle mis un pas devant, gracieux et léger. Elle tourna un coup, puis ce laissa retomber dos contre le sol. Le bois toucha ses omoplates, caressant de sa matière lisse les plis de peau. Sa tête se balança en arrière, elle pris une longue respiration. Les yeux fermés. Elle s'était abaissé, les jambes droites sur leur pointe. Alors que ses pieds maintenait à quelques centimètres du sol elle tendis ses jambes dans au saut, puis les fis retomber. Le vent claqua contre les verres des fenêtres, accélérant le rythme de la mélodie.

Elle se releva, toujours dans sa transe. Elle tourna une fois, puis deux, puis trois. Elle s'arrêta d'un coup, tendant là jambes, elle caressa une rose qui avait atterrie à côté d'elle et la ramena à son nez. Elle sentait tellement bon. Elle virevolta sur le coté balançant ses deux bras dans un mouvement synchronisé. La rose toujours dans sa main. Elle la reposa, dans un coin. Et s'asseyait délicatement devant elle. Sa robe était étalée sur le sol. Et elle laissa tomber son dos contre le bois. Les yeux fermés à écouter la musique dans sa tête. D'un coup brusque elle ce releva, le corbeau cria de nouveau. Elle leva les bras bien haut, la nuit ne tarderai plus. Elle tourna, encore, une fois, puis deux, puis trois. Elle releva ses jupons, et fit deux pas. Avec grâce. Elle remonta des escaliers, toujours cette mélodie dans la tête. Et repris une rose, lorsqu'elle arriva tout en haut. Elle la lança, aucun bruit ne venait la déranger dans sa transe. La fleur atterrie au milieu de la salle, juste à côté de la première. Formant une alliance. La vision de ces roses entremêlés, dont les pétales s'étalaient l'arrêterait. Sa danse venait de se terminer. Le vent passa dans son cou, alors qu'une nouvelle présence ce faisait sentir. Un frissons la parcouru alors qu'elle regarda par la fenêtre. Voyant que la nuit devenais trop sombre, elle entamait de rentrer chez elle. Mais en essayant de récupérer l'une des roses, une de ses nombreuses épines s'accrocha à son doigt, la piquant légèrement.

-Aie ! Une goute de sang tomba au sol. Clôturant officiellement cette danse

Coup sec, là domestique lui resserra le corset d'un rouge sang. Sa mère elle, la regardait un peu plus loin se faire pomponner. La respiration courte du au peu d'air que laissait passer sa robe, celle si essaya plutôt de ce concentrer sur l'une des douce mélodies qui se jouait dans le salon. De fines bretelles recouvrait ses épaules, et un léger décolleté étais mis en valeur grâce à sa peau clair. Sa longue robe couleur sang mettait ses formes a leur avantage sans être trop vulgaire. Sa mère avait l'œil.

Lorsque la tâche fut terminer, ses cheveux brun suivirent. On lui avait fait plusieurs nattes enroulés derrière sa tête, libérant son cou pâle. Puis vins le maquillage, rien sur les lèvres bien sur. Celle ci étais déjà assez rose, et naturellement de plus.

-Je t'accompagnerai. Déclara sa mère. Cette nouvelle n'était pas pour lui plaire. Elle savait que sa mère voulait seulement lui assurer un avenir, un statut et un bonheur. Mais bon sang qu'est ce que c'était lourd. Elle grimaça en voyant les chaussures qu'elle devrait porter durant la soirée, une si longue soirée.

-Si le Duc te remarque, il te remarquera. Ne fait aucun pas de travers, il faut qu'il t'apprécie, c'est bien clair ? La jeune femme hocha la tête. Repliant une fois de plus un plis imaginaire sur sa robe, elle semblait stresser. Mais pas par la soirée, plus car elle appréhendait l'arrivé du fameux Duc de Castel dont tout le monde parlais. Son prochain mari ?

Le carrosse acajous s'arrêtait à la hauteur de la grande salle. Lorsqu'elle y entra c'est sans surprise qu'elle l'a découvrit. Quoique plus illuminé elle était beaucoup plus accueillante.

-Lady Donogan, et sa fille. Leur prénoms n'étais pas donner, elles n'avaient droit de le révélé qu'au gens de la haute société seulement s'ils le demandaient. Son père était comte, mais ça ne leur apportait aucun avantage sur les soirées de ce genre. A leurs entrer, plusieurs jeune fille lancèrent de mauvais regard à la nouvelle arrivante, pendant que les hommes eux ne ce gênaient en aucun cas de la regarder. Mais au lieu de se diriger, comme sa mère vers des femmes bien habiller, elle s'arrêta au niveau du buffet, un buffet que personne n'avais toucher. Et bien ! Cela serait fâcheux de gâcher tant de bonne chose, Non ? Elle salivais déjà. Les chocolat alcoolisée la rendait ivre. Elle engloutit un carré de chocolat, lorsque un raclement de gorge attira son attention. Elle se retourna en levant les yeux au ciel, qui voulait lui parler sérieusement ? Mais sa bouche s'entrouvrit lorsqu'elle ce rendait compte que celui qui l'avais dérangé n'étais autre que l'homme de la veille.

-Vous devriez fermez votre bouche, mademoiselle Donogan. Son nom roulait tellement bien sous cette langue. Elle avala le contenu, et se concentra une nouvelle fois sur le visiteur.

-Que faites vous là ?" Se plaint elle.

-Veuillez calmer le ton avec moi mademoiselle Donogan répliqua t'il d'un ton glacial.

-Et bien excuser moi de mon impolitesse, à qui ai je l'honneur ?" Un sourire si faux qu'il couvrait ses dents fit rétorquer l'homme.

-Duc de Castel, enchanter de faire votre connaissance mademoiselle. Il pris sa main et déposa ses lèvres dessus. Toujours ce sourire sur les lèvres. Voyant que la jeune fille n'allait pas se décider à parler, le Duc voulu prendre les choses en main. M'accorderiez vous cette danse en votre charmante compagnie ? La jeune femme encore déstabilisée par sa révélation hocha simplement la tête. Puis elle sentit le regarde de sa mère, elle tourna la tête et aperçu celle ci lui sourire. Ses lèvres bougaient et elle compris rapidement ce qu'elle dit : N'oublie pas, lui ou l'autre. Elle déglutie difficilement, elle ne voulait pas se marier avec un homme bon sang. Ni un inconnu, ni un inconnu qui l'espionnait et qui était duc !

-Avec plaisir. finis elle par rajouter. Sans plaisir ! Pensa t- elle. Il lui pris la main et l'amena au centre. Lui saisissant la taille d'une main et paume de l'autre il colla leur buste tout en gardant une légère distanciation.

-Qui êtes vous mademoiselle Donogan?

-Pourquoi vous donnerait-je mon prénom lorsque le votre m'est inconnu mon chère Duc? Un sourire malicieux pris place sur ses lèvres, alors qu'elle étais de nouveau déconcentrer par les deux Améthystes violets.

-Je me nomme Raven. Et vous ?

-Houston, Houston Donogan. Il haussa un sourcil.

-C'est très original.

-Le votre aussi monsieur le duc. Hooston était un prénom inconnu, personne ne le portais jusqu'à elle. En tout cas elle n'avait rencontré personne avec un prénom similaire.

La danse continua jusqu'à ce que la dernière note de musique sonne. Ils ce saluèrent poliment en faisant une révérence. Avant qu'elle ne le sente lui ressaisir la taille et chuchoter dans son cou. Ses mains étaient disposés de tel sorte à ce qu'on croyait qu'il ne faisait que replacer une mèche de ses cheveux. Il tourna la tête vers la droite. La où se trouvait sa mère et lui sourit.

-Rejoignez moi demain dans l'après midi. Je serai dans mon manoir. Avant qu'elle n'ai pu dire quoique ce soit, il déposa un léger baiser sur son poignet. Geste qui n'était pas passer inaperçu.

Oh que non.

La bouche grande ouverte, Houston restait figer au milieu de la salle. Non non non, non non et non ! Il m'a donné un rendez vous ! Je ne voulais pas ! Pensa t-elle. Paniquer comme jamais, elle se dirigea vers sa mère. Mauvaise idée.

-Mère ! Le sourire de sa génitrice s'élargie.

-Ah ma fille ! Alors je vois que le Duc est tomber sous ton charme. Celle ci marmonna des mots incompréhensibles dans sa barbe avant de lever les yeux au ciel.

-Il m'a donné rendez-vous mais-. Elle avait prononcer cette phrase dans un souffle, désespérée. Quant à sa mère, elle étais surexcitée. L'idée de se débarrasser d'elle l'enchantait a ce point ? Argh elle devait lui parler. Sa mère se précipita vers ses amies, leurs racontant déjà quel couleur choisirait elle pour la cérémonie. Elle aperçu une nouvelle fille s'approche du buffet. Elle portait des boucles blondes qui descendais sur son dos. Et de grand yeux noisettes. Une robe jaune soleil lui affinait la taille. Elle était tout bonnement sublime !

-Bonjours, vous êtes ? Demanda-elle avec un sourire

-Houston c'est toi ! Bon Dieu je t'ai vue dancer avec le duc. Houston engloutis un nouveau carré, en soufflant.

-Oui bon, on s'était rencontré accidentellement au ruisseau. Je suis heureuse de te voir Céleste. celle ci ouvrit les yeux en grand.

-Le Duc est tomber sous ton charme ! Elle grimaça légèrement. Le reste de la soirée se passa normalement, la jeune femme avait passer le reste de son temps à parler et à juger les invité avec la petite blonde.

Quand vint l'heure pour le Duc de retourner dans sa demeure, il l'a chercha une dernière fois. Mais il ne l'a trouva pas pour autant, celle ci étais introuvable. Même sa mère étais dans les parages lui lançant des sourire si large qu'il en avait mal. Elle lui disait quelque chose. Comme s'il l'avait déjà vue... Il rejoignit les autres hommes dans une salle annexée. Un cigare à la main. Il était celui qui commandait ici. Mais d'après sa mère, un descendant devait rassurer tout le monde de son pouvoir. Il souffla la fumée sur l'une des jeune filles qui passais par la. Elle gloussa et partis rejoindre ses amies. Pathétique Aucune robe sang visible même d'ici. Il ne voyait nul part sa petite fée rouge. Sa Red.

Lors de la danse avec elle, il avait dû ce mordre l'intérieur de la joue pour ne pas la complimenter sur son décolleté et sur sa robe et sur sa beauté. Désormais il avait besoin de se divertir l'esprit, et une femme de joie ferai parfaitement l'affaire. Certain en avait invité pour amuser la galerie. De nouveau en rogne, celui ci pris une femme très peu habiller pour ce genre de soirée et la ramena dans sa chambre en fermant la porte. La grande blonde souriait de toute ses dent en imaginant la suite. Elle lui parla mais il n'en comprit pas un mot. Elle enleva d'elle même tout ses vêtements avant de se dirigé en direction du Duc Raven de Castel.

Un dernier râle sortis de sa bouche, avant qu'il ne tombe sur la femme. Il repris doucement son souffle puis se releva en s'habillant.

-Sortez s'il vous plaît. Dit il d'une voie ferme

-Mais Monsieur, je croyais... Elle se ravisa et sortit. Enfin ! Il se posta dans son balcon, qui étais disposer au dessus de la salle de fête. Toute cette propriété lui appartenait et hier soir quelqu'un si étais introduit. Le sang qu'il avait sentit fit ressortir ses crocs. Il se ralluma un cigare, et rejeta la fumée dans le vent frais. Il avait hâte de choisir sa femme et de partir de cette ville brûlante. Il avait l'habitude du froid et non de la chaleur, il aimait les hiver rude, ceux où la brume apparaît. Où l'on passe la plus part du temps devant la cheminée, ou dans son lit un livre ou une femme à la main. Non, ici le moindre contact provoquais une brûlure. Surtout lorsqu'il s'agissait de cette jeune femme. Il se servit un verre d'alcool, qu'il but en admirant la vue qui lui donnais son balcon.

Une duchesse, il lui fallait trouver une duchesse.

Le roucoulement d'une chouette venait fissurer le silence de la nuit. Elle se posa sur un arbre en battant négligemment des ailes, alors que la branche bougeai, rajoutant un nouvelle instrument à cette mélodie appelée la noirceur de la nuit. Les cheveux brun de Houston était éparpillé sur son oreiller. Malgré les longues heures qui avait passer elle ne dormait toujours pas. Comme puni par la nuit noir. Sa robe beige étais éclairée par la seul source possible. La lune. Un courant d'air passa et elle enleva encore plus le drap. Elle était brûlante. Ses joue étais rougies et quelques trace étaitent apparu sous ses yeux. Mais malgré ça elle se releva, et attacha ses long cheveux marrons avec un fil. Désormais en tailleur sur son lit elle comptait les nombreux grattement que la branche effectuait sur sa vitre. La chaleur étais présente, malgré l'hiver déjà bien arriver. Elle étais épuiser mais ne trouvait pas le sommeil. Quand d'un coup une pensée lui vint en tête. Elle en compagnie du Duc. Oh non non non non, oh non non non ! Mère n'avait pas dit que si le Duc s'intéressait à moi.. ! Non c'est impossible ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas ! Puis une image ignoble ce forma. Elle au bras du Duc de Castel, l'air heureuse avec un fils et une fille tout deux parfaitement bien habiller. Mais malgré ce parfait portrait de famille elle pouvait se voir elle et son faux sourire sophistiqué. Nom de Dieu Elle secoua la tête, puis chanta une petite berceuse. L'une que son père lui chantais étant petite. Elle les connaissait toute par cœur. Puis une image d'elle réellement heureuse l'as fit sourire. Elle essayais de ressentir chacun des sentiments que les personnes ordinaire ressentais. L'amour, le vrai.

-Mon dieu Houston, pauvre enfant que t'es t'il arriver. Sa mère arriva accompagné d'une domestique.

-Meredith préparer la. En moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire la petite rouquine se précipita vers la jeune fille. Attrapant une robe dans son armoire. Elle lui en tendis une violette assez fermé.

-Mère, je pense que les couturières n'ont pas terminer de coudre cette partie la. elle montra du doigt le col fermé de la robe à l'anglaise.

-Oh ma fille, tu es si innocente. Après avoir illuminé le duc de ta beauté, il faut l'affamé. La jeune femme fronça les sourcils, elle n'était pas si innocente que ça. Les livres instruise beaucoup malgré le fait que la Luxure soit un péché.

-Cela te servira à séduire le duc mon enfant. elle leva les yeux au ciel.

-Mere je dois vous parler d'une chose importante... avant qu'elle n'ai pu continuer, sa génitrice pris la parole.

-Et mettez lui du parfum, l'odeur de la rose serai sûrement parfaite. Il a recouvert la salle de fleure.

-Mere attendez !

-Écoute Houston, je connais ta façon de voir les choses et je te comprend. Ne crois pas que j'étais heureuse d'être marié aussi jeune. Mais c'est le mieux pour toi... Si on disparaît ton père et moi, tes frères ne pourront t'assurer un bel avenir. Aussi j'aimerai que le mariage spasse avant le début du printemps. Le duc devra retourner au nord, alors dépêche toi, bonne chance ma fille. Conclue sa mère avec un geste. Elle lui pris la main, la caressa d'un geste maternel. Dépassant l'embrasure de la porte elle l'abandonna seule face au responsabilité qui l'attendait. La jeune fille soupira, elle détestait ce sentiment, celui de ne plus rien contrôlé. Elle se dévêtit pour ce laver et commença sa toilette. Meredith lui fit enfiler la robe pourpre similaire au yeux du duc. Tout était à ce point calculer ?

Hésitante, elle déposa son pied en dehors de son transport. Son pied se posa sur un sol caillouteux. Sa bouche s'entrouvrit rapidement. devant le manoir du Duc. L'homme qu'elle avait rencontré la veille deux fois de suite vivait aisément. Elle comprit soudainement le comportements de ses confrères. Cette empressement d'être celui ou celle qui touchera le célèbre Castel. Sa demeure était tout simplement gigantesque. Un homme d'une cinquantaine d'années vint lui indiquer la direction à prendre, il était grand et très fin. Il se présenta comme étant Aristide, chef gouvernant fidèle assigné à toute les propriétés du Duc. C'était le chef des domestiques. Il avait l'air de connaître le manoir comme sa poche, tournait à tout bout de champs la faisant le perdre de vue quelques fois. Il ralentit un peu plus, prenant soin de lui indiqué les pièces par lesquels ils passaient. Puis il s'arrêta devant une porte si grande qu'elle atteignait le plafond. Il lui fit un sourire sincère.

-Ne vous en faites pas mademoiselle, il n'est pas si méchant. Il lui fit un sourire et s'éclipsa. Elle pris une grande inspiration et s'apprêta a toquer lorsque la voie grave du Duc de fit entendre. Les vibrations rauque la firent frissonner.

-Entrer mademoiselle Houston. Je vous attendais.

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